Revue de presse - Revalorisation du SMIC

Retrouvez dans la revue de presse les retombées presse de l'interview de Jean-Paul CHARLEZ, Président national de l'ANDRH, sur la revalorisation du SMIC.
Propos recueillis par Francis
BROCHET
Pas de coup de pouce au smic,
c’est une bonne ou une mauvaise
nouvelle pour les DRH ?
Dans les entreprises, au moment des négociations salariales, on regarde l’inflation, et la hausse du smic qui lui est corrélée, et cela sert de « driver » (conducteur) au taux de l’augmentation. En 2018, on a une inflation qui redémarre à près de 2 % : sans coup de pouce, nous aurons donc une augmentation du smic entre 1, 8 et 2 %. C’est déjà un pourcentage significatif pour les entreprises, qui n’ont pas toutes la possibilité de vendre leurs produits plus cher.
Au-delà du smic, il y a de moins en moins d’augmentations générales…
Dans le cas général, l’objectif est de garantir le pouvoir d’achat des employés, avec une augmentation générale qui tourne autour de l’inflation et de la hausse du smic. On augmente les cadres dans un budget global, selon leurs performances et le « prix de marché » de leur fonction – le prix qu’il faudrait mettre pour embaucher quelqu’un dans la même fonction. Et au milieu, la maîtrise est traitée, selon les entreprises, comme les cadres ou les employés.
Pour lire l'article, cliquez ici (accès réservé aux abonnés).
La rémunération moyenne des patrons du CAC 40 est de 257 smic…
Ce n’est pas sage… Après, tout dépend de la performance du patron concerné. Et quand vous comparez dans le bilan social des entreprises les rémunérations des 10 % des salariés les mieux payés, avec celle des 10 % les moins payés, vous arrivez à un multiple d’environ 3, 5, qui n’évolue pas vraiment avec les années.
Pour lire l'article, cliquez ici (accès réservé aux adhérents)
Retrouvez ci-dessous les autres retombées presse :