← Actualités

Santé mentale : quel rôle pour la fonction RH ?

À l’occasion de la journée mondiale de la santé mentale, l’ANDRH s’est associée avec l’assureur Alan pour organiser une matinée sur cette thématique et sa gestion en entreprise. Les participants ont pu assister à une table ronde et poser leurs questions, afin d’identifier le rôle de la fonction RH et la meilleure manière d’accompagner les collaborateurs.
Complétez vos informations pour lire la suite…
Vous recevrez un lien pour consulter l'article.
Vos informations sont gérées uniquement en interne en toute confidentialité et dans le respect du RGPD. Consulter notre Politique de confidentialité

Vérifiez votre boîte de réception
Un email a été envoyé à comportant le lien pour accéder à cet article.
*Si l'email n'arrive pas, vérifiez vos courriers indésirables.
Lectures liées
Prospective

« Chaque RH aura à gérer un incident de cybersécurité dans son parcours professionnel »

À l’occasion du premier jour du parcours cybersécurité de l’ANDRH avec ADHEL, Anne Doré, experte en cybersécurité, rappelle les fondamentaux, les principales menaces et le rôle clé des RH pour protéger les données et anticiper les crises.

Santé & QVT

Introduction - Parcours "Violences conjugales : et si chaque entreprise devenait une #SafePlace ?"

Pour le J-1 du Parcours "Violences conjugales : et si chaque entreprise devenait une #SafePlace ?", découvrez cet article rédigé par Sarah Barukh, écrivaine et militante contre les violences intrafamiliales. Faites le point sur la situation, les risques et le label Safe Place lancé par Sarah et l'Association 125 et après.

Prospective

« Le principal frein de l’intelligence artificielle réside dans l’absence d’un dialogue social technologique structuré » - François-Xavier Petit

L’utilisation de l’intelligence artificielle sous toutes ses formes effraie aussi bien qu’elle fascine. François-Xavier Petit, directeur général de Matrice, revient dans le numéro de janvier 2025 du magazine de l'ANDRH, sur ce concept et livre un état des lieux avec un objectif simple : démystifier son utilisation, aujourd’hui bien ancrée, et se consacrer aux questions clés, comme la gouvernance des algorithmes ou le dialogue social technologique.